Novembre - Décembre 2024 44 chansons 29/10/2024
André Pierre
J'ai connu ce monsieur dans les années quatre vingt, un vrai troubadour très sympathique dont la chanson "Le petit train de Palavas" est un vrai chef d'œuvre empreint de nostalgie.
Le petit train de Palavas
la la la la la la la la
Il avait triste mine,
le mécanicien
En voyant sa machine
rouiller dans son coin
Avec son regard tendre
et ses grand yeux mouillés
On pouvait comprendre qu’il revoyait…
Le petit train de Palavas
Aller de la mer au Clapas
Qui partait dans le clair matin
En suivant son petit chemin
C’était le p’tit train des copains
Il s’en allait sous le ciel bleu
En emportant ces gens heureux
Qui allaient passer la journée
Sur les plages ensoleillée
De notre Méditerranée
De gare en gare, cahin-caha
Son tintamarre, c’était la joie
Le petit train de Palavas
Allait de la mer au Clapas
Et quand on l’entendait siffler
Tout le monde le saluait
C’était le train de l’amitié
C’était un beau voyage
qu’on faisait tous les jours
Voyageurs sans bagages
plein de joie et d’amour
C’était la chansonnette
des petits wagons verts
Qui passaient en goguette
en dansant vers la mer
Le petit train de Palavas
Allait de la mer au Clapas
Avec des gens qui s’entassaient
Sur les plate-formes les march’pieds
C’était le train de la gaité
Le train ralentit et s'essoufle
Quand arrivait une montée
Il commençait à s’essouffler
Ça repart...
Mais les rires des voyageurs
Lui remettaient du baume au cœur
Et il repartait à toute vapeur
Que de fleurettes s’y sont contées
Que d’amourettes s’y sont passées
Le petit train de Palavas
Qui maintenant dort au Clapas
Si on ne le voit plus passer
On a toujours une pensée
Pour ce petit train du temps passé
La la la la…
Le petit train de Palavas
Le petit train de Palavas
Le petit train du temps passé
Boby Lapointe
Aragon et Castille
Au pays daga d’Aragon
Il y avait ugud une fille
Qui aimait les glaces au citron
Et vanille
Au pays degue de Castille
Il y avait tegued un garçon
Qui vendait des glaces vanille
Et citron
Moi j’aime mieux les glaces au chocolat
Poils au bras
Mais chez mon pâtissier il n’y en a plus
C’est vendu
C’est pourquoi je n’en ai pas pris
Tant pis pour lui
Et j’ai mangé pour tout dessert
Du camembert
Le camembert c’est bon quand c’est bien fait
Vive l’amour
À ce propos, revenons à nos moutons
Vendre des glaces c’est un très beau métier
Poils aux pieds
C’est beaucoup mieux que marchand de mouron
Patapon
Marchand d’mouron c’est pas marrant
J’ai un parent
Qui en vendait pour les oiseaux
Mais les oiseaux
N’en achetaient pas, ils préféraient l’crottin
De mouton
À ce propos, revenons à nos agneaux
Très lentement, puis en accélérant
Mais la Castille ça n’est pas l’Aragon
Ah, mais non
Et l’Aragon ce n’est pas la Castille
Et la fille
S’est passée de glace au citron
Avec vanille
Et le garçon n’a rien vendu
Tout a fondu
Dans un commerce c’est moche quand le fond fond
Poils aux pieds
À propos d’pieds, chantons jusqu’à demain
Au pays daga d’Aragon...
C
Au pays daga d'Aragon
Ebdim G7
Il y avait ugud' une fille
Qui aimait les glaces au citron
C
Et vanille...
Au pays degue de Castille
Ebdim G7
Il y avait tegue d' un garçon
Qui vendait des glaces vanille
C
Et citron.
[Verse]
C G7 C G G7
Moi j'aime mieux les glaces au chocolat,
Poil au bras.
G7 Gdim G7 C6 C
Mais chez mon pâtissier il n'y en a plus,
C'est vendu.
C Ebdim G7
C'est pourquoi je n'en ai pas pris
Tant pis pour lui
G7 Ebdim C6
Et j'ai mangé pour tout dessert
Du camembert.
C6 Em Dm G7
Le camembert c'est bon quand c'est bien fait
Vive l'amour.
Dm G7
À ce propos, rev'nons à nos moutons.
[Chorus]
C
Au pays daga d'Aragon
Ebdim G7
Il y avait ugud' une fille
Qui aimait les glaces au citron
C
Et vanille...
Au pays degue de Castille
Ebdim G7
Il y avait tegue d' un garçon
Qui vendait des glaces vanille
C
Et citron.
[Verse]
C G7 C G G7
Vendre des glaces c'est un très beau métier,
Poil aux pieds.
G7 Gdim G7 C6 C
C'est beaucoup mieux que marchand de mouron,
Patapon.
C Ebdim G7
Marchand d' mouron c'est pas marrant
J'ai un parent
G7 Ebdim C6
Qui en vendait pour les oiseaux
Mais les oiseaux
C6 Em Dm G7
N'en achetaient pas, ils préféraient l' crottin
De mouton
Dm G7
À ce propos, rev'nons à nos agneaux.
[Chorus]
C
Au pays daga d'Aragon
Ebdim G7
Il y avait ugud' une fille
Qui aimait les glaces au citron
C
Et vanille...
Au pays degue de Castille
Ebdim G7
Il y avait tegue d' un garçon
Qui vendait des glaces vanille
C
Et citron.
[Verse]
C G7 C G G7
Mais la Castille ça n'est pas l'Aragon
Ah! mais non
G7 Gdim G7 C6 C
Et l'Aragon ce n'est pas la Castille
Et la fille
C Ebdim G7
S'est passé de glace au citron
Avec vanille
G7 Ebdim C6
Et le garçon n'a rien vendu,
Tout a fondu.
C6 Em Dm G7
Dans un commerce c'est moche quand le fonds fond,
Poil aux pieds.
Dm G7
À propos d' pieds, chantons jusqu'à demain.
[Chorus]
C
Au pays daga d'Aragon
Ebdim G7
Il y avait ugud' une fille
Qui aimait les glaces au citron
C
Et vanille...
Au pays degue de Castille
Ebdim G7
Il y avait tegue d' un garçon
Qui vendait des glaces vanille
C
Et citron.
La maman des poissons
Si l’on ne voit pas pleurer les poissons
Qui sont dans l’eau profonde
C’est que jamais quand ils sont polissons
Leur maman ne les gronde
Quand ils s’oublient à faire pipi au lit
Ou bien sur leurs chaussettes
Ou à cracher comme des pas polis
Elle reste muette
La maman des poissons elle est bien gentille !
Ell’ ne leur fait jamais la vie
Ne leur fait jamais de tartine
Ils mangent quand ils ont envie
Et quand ça a dîné ça r’dîne
La maman des poissons
elle a l’œil tout rond
On ne la voit jamais
froncer les sourcils
Ses petits l’aiment bien
elle est bien gentille
et moi je l’aime bien…
avec du citron
La maman des poissons ... elle est bien gentille !
S’ils veulent prendre un petit ver
Elle les approuve des deux ouïes
Leur montrant comment sans ennuis
On les décroche de leur patère
S’ils veulent être maquereaux
C’est pas elle qui les empêche
De s’faire des raies bleues sur le dos
Dans un banc à peinture fraîche
J’en connais un qui s’est marié
À une grande raie publique
Il dit quand elle lui fait la nique
« Ah, qu’est-ce qui tu me fais, ma raie ! »
Si l’on ne voit pas pleurer les poissons
Qui sont dans l’eau profonde
C’est que jamais quand ils sont polissons
Leur maman ne les gronde
Quand ils s’oublient à faire pipi au lit
Ou bien sur leurs chaussettes
Ou à cracher comme des pas polis
Elle reste muette
La maman des poissons.....
elle est bien gentille
G D
Si l'on ne voit pas pleurer les poissons
G
Qui sont dans l'eau profonde
G D
C'est que jamais quand ils sont polissons
G
Leur maman ne les gronde
G D
Quand ils s'oublient à faire pipi au lit
D G
Ou bien sur leurs chaussettes
G D
Ou à cracher comme des pas polis
D G
Elle reste muette
G D G
La maman des poissons elle est bien gentille!
[Verse 1]
NC G
Ell' ne leur fait jamais la vie
G D
Ne leur fait jamais de tartine
D
Ils mangent quand ils ont envie
D G
Et quand ça a dîné ça r'dîne
[Chorus]
G Am
La maman des poissons elle a l'oeil tout rond
D G
On ne la voit jamais froncer les sourcils
G Am
Ses petits l'aiment bien, elle est bien gentille
D G
Et moi je l'aime bien avec du citron
G D G
La maman () des poissons () elle est bien gentiiiille!
[Verse 2]
NC G
S'ils veulent prendre un petit vers
G D
Elle les approuve des deux ouïes
D
Leur montrant comment sans ennuis
D G
On les décroche de leur patère
[Chorus]
G Am
La maman des poissons elle a l'oeil tout rond
D G
On ne la voit jamais froncer les sourcils
G Am
Ses petits l'aiment bien, elle est bien gentille
D G
Et moi je l'aime bien avec du citron
G D G
La maman () des poissons () elle est bien gentiiiille!
[Verse]
NC G
S'ils veulent être maquereaux
G D
C'est pas elle qui les empêche
D
De s'faire des raies bleues sur le dos
D G
Dans un banc à peinture fraîche
[Chorus]
G Am
La maman des poissons elle a l'oeil tout rond
D G
On ne la voit jamais froncer les sourcils
G Am
Ses petits l'aiment bien, elle est bien gentille
D G
Et moi je l'aime bien avec du citron
G D G
La maman () des poissons () elle est bien gentiiiille!
[Verse]
NC G
J'en connais un qui s'est marié
G D
A une grande raie publique
D
Il dit quand elle lui fait la nique
D G
"Ah! qu'est-ce qui tu me fais, ma raie!"
[Chorus]
G Am
La maman des poissons elle a l'oeil tout rond
D G
On ne la voit jamais froncer les sourcils
G Am
Ses petits l'aiment bien, elle est bien gentille
D G
Et moi je l'aime bien avec du citron
G D G
La maman () des poissons () elle est bien gentiiiille!
[Outro]
G D
Si l'on ne voit pas pleurer les poissons
G
Qui sont dans l'eau profonde
G D
C'est que jamais quand ils sont polissons
G
Leur maman ne les gronde
G D
Quand ils s'oublient à faire pipi au lit
D G
Ou bien sur leurs chaussettes
G D
Ou à cracher comme des pas polis
D G
Elle reste muette
G D G
La maman des poissons elle est bien gentille!
Bourvil
Le gentil Bourvil avait un vrai talent de chanteur ajouté à son talent de comédien. La tendresse bien sûr, la drôlerie, la vie.
La tendresse
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Être inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
mais s'il faut rester
des semaines sans rien faire
Hé bien on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps nous paraît long
Non non non non
Le temps nous paraît long
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui, mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien
Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours
Am F
On peut vivre sans richesse,
G C
Presque sans le sou
F Dm
Des seigneurs et des princesses
E7 Am
Y'en n'a plus beaucoup
Dm Am
Mais vivre sans tendresse
Dm Am
On ne le pourrait pas
F C
Non non non non
E7 Am
On ne le pourrait pas
[Verse 2]
Am F
On peut vivre sans la gloire
G C
Qui ne prouve rien
F Dm
Etre inconnu dans l'histoire
E7 Am
Et s'en trouver bien
Dm Am
Mais vivre sans tendresse
Dm Am
il n'en est pas question
F C
Non non non non
E7 Am
il n'en est pas question
[Interlude]
C G
Quelle douce faiblesse
C G
Quel joli sentiment
Am E
Ce besoin de tendresse
Am E
Qui nous vient en naissant
E7 Am E7
Vraiment vraiment vraiment
[Verse 3]
Am F
Le travail est nécessaire
G C
Mais s'il faut rester
F Dm
Des semaines sans rien faire
E7 Am
Eh bien on s'y fait
Dm Am
Mais vivre sans tendresse
Dm Am
le temps vous paraît long
F C
Long long long long
E7 Am
le temps vous parait long
[Instrumental]
F7
[Verse 4]
Bbm Gb
Dans le feu de la jeunesse
Ab Db
Naissent les plaisirs
Gb Ebm
Et l'amour fait des prouesses
F7 Bbm
Pour nous éblouir
F7 Bbm
Oui mais sans la tendresse
F7 Bbm
L'amour ne serait rien
Ebm Db
Non non non non
F7 Bbm
L'amour ne serait rien
[Verse 5]
Bbm Gb
Quand la vie impitoyable
Ab Db
Vous tombe dessus
Gb Ebm
On est plus qu'un pauvre diable
F Bbm
Broyé et déçu
F7 Bbm
Alors sans la tendresse
F7 Bbm
d'un coeur qui nous soutient
Ebm Db
Non non non non
F7 Bbm
on n'irait pas plus loin
[Interlude]
Db Ab
Un enfant vous embrasse
Db Ab
Parce qu'on le rend heureux
Bbm F
Tous nos chagrins s'effacent
Bbm F
On a les larmes aux yeux
F7 Bbm F7
Mon Dieu mon Dieu mon Dieu
[Verse 7]
Bbm Gb
Dans votre immense sagesse
Ab Db
Immense ferveur
Gb Ebm
Faites donc pleuvoir sans cesse
F Bbm
Au fond de nos cœurs
F7 Bbm
Des torrents de tendresse
F7 Bbm
pour que règne l'amour
Ebm Db
Règne l'amour
F7 Bbm
jusqu'à la fin des jours.
Chants de Marins
Ah que nos pères
Et ils buvaient à pleins tonneaux
Comme des trous
Comme des trous, morbleu !
Bien autrement que nous, morbleu !
Bien autrement que nous !
Ah que nos pères étaient heureux
Ah que nos pères étaient heureux
Quand ils étaient à table
Le vin coulait à côté d’eux
Le vin coulait à côté d’eux
Ça leur était fort agréable
Ils n’avaient ni riches buffets (bis)
Ni verres de Venise.
Mais ils avaient des gobelets (bis)
Aussi grands que leurs barbes grises.
Ils ne savaient ni le latin (bis)
Ni la théologie.
Mais ils avaient le goût du vin (bis)
C’était là leur philosophie.
Quand ils avaient quelques chagrins (bis)
Ou quelques maladies
Ils plantaient là le médecin (bis)
Apothicaire et pharmacie.
Celui qui planta le provin (bis)
Au beau pays de France
Dans l’éclat du rubis divin (bis)
Il a planté notre espérance.
Amis buvons à pleins tonneaux...
Chants de Veillées
Le Roi Arthur
Pour n’avoir pas voulu chanter, ohé
Pour n’avoir pas voulu chanter, ohé
Par lui ses fils furent chassés
Oui chassés à coups de pied
Pour n’avoir pas voulu chanter
Solo Le Roi Arthur avait trois fils
Tous Quel supplice
Solo Mais c’était un excellent roi
Tous Oui ma foi
Par lui ses fils furent chassés
Oui chassés à coups de pied
Pour n’avoir pas voulu chanter.
Pour n’avoir pas voulu chanter, ohé ...
Solo Le premier fils se fit meunier
Tous C’est bien vrai
Solo Le second se fit tisserand
Tous Oui vraiment
Le troisième se fit commis
D’un tailleur de son pays
Un rouleau de drap sous son bras
Pour n’avoir pas voulu chanter, ohé...
Solo Le premier fils volait du blé
Tous C’est bien laid
Solo Le second fils volait du fil,
Tous C’est bien vil
Et le commis du tailleur
Volait du drap à toute heure
Pour en habiller ses deux sœurs
Pour n’avoir pas voulu chanter, ohé...
Solo Dans l’écluse le meunier s’noya,
Tous Ha ha ha
Solo À son fil le tiss’rand s’pendit
Tous Hi hi hi
Et le diable mis en furie
Emporta le p’tit commis
Un rouleau de drap sous son bras
Pour n’avoir pas voulu chanter, ohé
Charles Aznavour
Le grand Charles Aznavour au si grand talent. Un poète, un interprète, un travailleur inlassable. L'illustration de ce que peut donner le travail acharné associé à un talent prestigieux. Je ne le chante que depuis peu.
Emmenez-moi
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que... la misère
Serait moins pénible au soleil
Vers les docks où le poids et l'ennui
Me courbent le dos
Ils arrivent le ventre alourdi
De fruits les bateaux
ils viennent du bout du monde
Apportant avec eux
Des idées vagabondes
Au reflet de ciel bleu
De mirage
Traînant un parfum poivré
De pays inconnus
Et d’éternels étés
Où l’on vit presque nu
Sur les plages
Moi qui n'ai connu toute ma vie
Que le ciel du nord
J'aimerais débarbouiller ce gris
En virant de bord
Dans les bars à la tombée du jour
Avec les marins
Quand on parle de filles et d'amour
Un verre à la main
Je perds la notion des choses
Et soudain ma pensée
M'enlève et me dépose
Un merveilleux été
Sur la grève
Où je vois tendant les bras
L'amour qui comme un fou
Court au devant de moi
Et je me pends au cou
De mon rêve
Quand les bars ferment, que les marins
Rejoignent leur bord
Moi je rêve encore jusqu'au matin
Debout sur le port
Un beau jour sur un rafiot craquant
De la coque au pont
Pour partir je travaillerai dans
La soute à charbon
Prenant la route qui mène
A mes rêves d'enfant
Sur des îles lointaines
Où rien n'est important
Que de vivre
Où les filles alanguies
Vous ravissent le coeur
En tressant m'a t'on dit
De ces colliers de fleurs
Qui enivrent
Je fuirai laissant là mon passé
Sans aucun remords
Sans bagage et le cœur libéré
En chantant très fort
[Verses]
Em D
Vers les docks où le poids et l'ennui
Em B7
Me courbent le dos
Em D
Ils arrivent le ventre alourdi de fruits
Em B7 Em
Les bateaux
C D
Ils viennent du bout du monde
C
Apportant avec eux
D
Des idées vagabondes
C
Aux reflets de ciel bleu
G
De mirage
C
Traînant un parfum poivré
G
De pays inconnus
C
Et d'éternels étés
G
Où l'on vit presque nu
B7
Sur les plages
Em D
Moi qui n'ai connu toute ma vie
Em B7
Que le ciel du Nord
Em D
J'aimerais débarbouiller ce gris
Em
En virant de bord
(Em B7 Em) D G
Emmenez-moi au bout de la terre
D G
Emmenez-moi au pays des merveilles
B7 Em
II me semble que la misère
C B7 Em
Serait moins pénible au soleil
Em D
Dans les bars à la tombée du jour
Em B7
Avec les marins
Em D
Quand on parle de filles et d'amour
Em B7 Em
Un verre à la main
C D
Je perds la notion des choses
C
Et soudain ma pensée
D
M'enlève et me dépose
C
Un merveilleux été
G
Sur la grève
G C
Où je vois tendant les bras
G
L'amour qui comme un fou
C
Court au-devant de moi
G
Et je me pends au cou
B7
De mon rêve
Em D
Quand les bars ferment, que les marins
Em B7
Rejoignent leur bord
Em D
Moi je rêve encor' jusqu'au matin
Em
Debout sur le port
(Em B7 Em) D G
Emmenez-moi au bout de la terre
D G
Emmenez-moi au pays des merveilles
B7 Em
II me semble que la misère
C B7 Em
Serait moins pénible au soleil
Em D
Un beau jour sur un rafiot craquant
Em B7
De la coque au pont
Em D
Pour partir je travaillerais dans
Em B7
La soute à charbon
C D
Prenant la route qui mène
C
A mes rêves d'enfant
D
Sur des îles lointaines
C
Où rien n'est important
G
Que de vivre
G C
Où les filles alanguies
G
Vous ravissent le coeur
C
En tressant m'a t'on dit
G
De ces colliers de fleurs
B7
Qui enivrent
Em D
Je fuirais laissant là mon passé
Em B7
Sans aucun remords
Em D
Sans bagage et le coeur libéré
Em B7
En chantant très fort
(Em B7 Em) D G
Emmenez-moi au bout de la terre
D G
Emmenez-moi au pays des merveilles
B7 Em
II me semble que la misère
C B7 Em
Serait moins pénible au soleil
Charles Trénet
Boum
La pendule fait tic-tac tic-tic
Les oiseaux du lac pic-pac pic-pic
Glou glou glou font tous les dindons
Et la jolie cloche ding ding dong
Mais boum
Quand notre cœur fait boum
Tout avec lui dit boum
Et c'est l'amour qui s'éveille
Boum
Il chante "love in bloom"
Au rythme de ce boum
Qui redit boum à l'oreille
Tout a changé depuis hier
Et la rue a des yeux qui regardent aux fenêtres
Y'a du lilas et y'a des mains tendues
Sur la mer le soleil va paraître
Boum
L'astre du jour fait boum
Tout avec lui dit boum
Quand notre cœur fait boum boum
Le vent dans les bois fait hou-hou
La biche aux abois fait mê
La vaisselle cassée fait cric cric crac
Et les pieds mouillés font flic flic flac
Mais boum
Quand notre cœur fait boum
Tout avec lui dit boum
L'oiseau dit boum, c'est l'orage
Boum
L'éclair qui lui fait boum
Et le bon Dieu dit boum
Dans son fauteuil de nuages
Car mon amour est plus vif que l'éclair
Plus léger qu'un oiseau, qu'une abeille
Et s'il fait boum, s'il se met en colère
Il entraîne avec lui des merveilles
Boum
Le monde entier fait boum
Tout avec lui dit boum
Quand notre cœur fait boum boum
Boum
Le monde entier fait boum
Tout avec lui dit boum
Quand notre cœur fait boum boum
Boum
Je n'entends que boum boum
Ça fait toujours boum boum
Boum boum
[Verse 1]
C Am Dm/F G
La pendule fait tic tac tic tic.
C Am Dm/F G
Les oiseaux du lac pic pac pic pic.
C7 F
Glou glou glou font tous les dindons.
D7 G
Et la jolie cloche ding dang dong. Mais
[Chorus 1]
C Am Dm/F G
Boum! Quand notre cœur fait
C Am Dm/F G
Boum, tout avec lui dit
Em Am Dm G C F C/E G/D
Boum. Et c'est l'amour qui s'éveille.
C Am Dm/F G
Boum! il chante "love in
C Am Dm/F G
bloom". Au rythme de ce
Em Am Dm G C
Boum, qui redit Boum à l'oreille.
[Verse 2]
Bb G7 C Am
Tout a changé depuis hier et la rue
Bb G7 C
a des yeux qui regardent aux fenêtres.
Dm Ddim C
Y a du lilas et y a des mains tendues.
F#dim B7 E7 G7
Sur la mer le soleil va paraître.
[Chorus 2]
C Am Dm/F G
Boum! l'astre du jour fait
C Am Dm/F G
Boum. Tout avec lui dit
Em Am Dm G C C
Boum, quand notre cœur fait Boum Boum.
[Verse 3]
C Am Dm/F G
Le vent dans les bois fait hou hou.
C Am Dm/F G
La biche aux abois fait mèèèh.
C7 F
La vaisselle cassée fait fric fric frac.
D7 G
Et les pieds mouillés font flic flic flac. Mais
[Chorus 3]
C Am Dm/F G
Boum! Quand notre cœur fait
C Am Dm/F G
Boum, tout avec lui dit
Em Am Dm G C F C/E G/D
Boum. L'oiseau dit Boum, c'est l'orage. Brrr.
C Am Dm/F G
Boum! L'éclair qui lui fait
C Am Dm/F G
Boum. Et le bon Dieu dit
Em Am Dm G C C
Boum, dans son fauteuil de nuages.
[Verse 4]
Bb G7 C Am
Car mon amour est plus vif que l'éclair.
Bb G7 C
Plus léger qu'un oiseau qu'une abeille.
Dm Ddim C
Et s'il fait Boum s'il se met en colère.
F#dim B7 E7 G7
Il entraîne avec lui des merveilles.
[Chorus 4]
C Am Dm/F G
Boum! Le monde entier fait
C Am Dm/F G
Boum. Tout avec lui dit
Em Am Dm G C C
Boum, Quand notre cœur fait Boum Boum.
[Instrumental]
C Am Dm/F G
C Am Dm/F G
Em Am Dm G
C F C/E G/D
C Am Dm/F G
C Am Dm/F G
Em Am Dm G
C C
Bb G7 C Am
Bb G7 C C
Dm Ddim C C
F#dim B7 E7 G7
[End-Chorus]
C Am Dm/F G
Boum! Le monde entier fait
C Am Dm/F G
Boum. Tout avec lui dit
Em Am Dm G C F C/E G/D
Boum, quand notre cœur fait Boum Boum.
C Am Dm/F G
Boum! Je n'entends que Boum
C Am Dm/F G
Boum Ça fait toujours Boum
Em Am Dm G C
Boum, Boum Boum brrr Boum...
X
La Mer
La mer, qu’on voit danser,
Le long des golfes clairs,
A des reflets d’argent,
La mer,
Des reflets changeants sous la pluie.
La mer, au ciel d’été,
Confond ses blancs moutons,
Avec les anges si purs,
La mer,
Bergère d’azur infini.
Voyez, près des étangs
Ces grands roseaux mouillés
Voyez ces grands oiseaux blancs
Et ces maisons rouillées.
La mer, les a bercés,
Le long des golfes clairs,
Et d’une chanson d’amour,
La mer,
A bercé mon cœur, pour la vie.
[INTRO] D Bm G B7 Em A
D Bm G
La mer
A7 D Bm
Qu'on voit danser
G A7 D F#7
Le long des golfes clairs
Bm A7 D Bm
A des reflets d'argent
G B7 Em
La mer
A F#7 Bm
Des reflets changeants
G E7 A A7
Sous la plui-e...
D Bm G
La mer
A7 D Bm
Au ciel d'été
G A7 D F#7 Bm
Confond ses blancs moutons
A7 D Bm
Avec les anges si purs,
G B7 Em
La mer
A F#7 Bm G Em7 A7 D
Bergère D'A-zur infi-ni- - E
C#7 F# D#m G#m
Voy-ez
C#7 F#
Près des étangs
D#m G#m C#7 F#
Ces grands roseaux mouillés
E7 A F#m Bm
Voy-ez
E7 A F#m
Ces oiseaux blancs
Bm E7 A A7 F#m A7
Et ces maisons rouillées
D Bm G
La mer
A7 D Bm
Les a bercés
G A7 D F#7 Bm
Le long des golfes clairs
A7 D Bm
Et d'une chanson d'amour,
G B7 Em
La mer
A F#7 Bm G E7 A7 D
A bercé mon coeur pour la vi- - e
A7 D Bm G
La mer
A7 D Bm
Qu'on voit danser
G A7 D F#7
Le long des golfes clairs
Bm A7 D Bm
A des reflets d'argent
G B7 Em
La mer
A F#7 Bm
Des reflets changeants
G E7 A A7
Sous la plui-e...
D Bm G
La mer
A7 D Bm
Au ciel d'été
G A7 D F#7 Bm
Confond ses blancs moutons
A7 D Bm
Avec les anges si purs,
G B7 Em
La mer
A F#7 Bm G Em7 A7 D
Bergère D'A-zur infi-ni- - E
C#7 F# D#m G#m
Voy-ez
C#7 F#
Près des étangs
D#m G#m C#7 F#
Ces grands roseaux mouillés
E7 A F#m Bm
Voy-ez
E7 A F#m
Ces oiseaux blancs
Bm E7 A A7 F#m A7
Et ces maisons rouillées
A7 D Bm G
La mer
A7 D Bm
Les a bercés
G A7 D F#7 Bm
Le long des golfes clairs
A7 D Bm
Et d'une chanson d'amour,
G B7 Em
La mer
Bm E7 A7 D
A bercé mon coeur pour la vi- - e.
Le soleil a rendez-vous avec la lune
S- Sur le toit de l'hôtel où je vis avec toi
Quand j'attends ta venue mon amie
Quand la nuit fait chanter
plus fort et mieux que moi
T- Tous les chats tous les chats tous les chats
S- Que dit-on sur les toits que répètent les voix
De ces chats, de ces chats qui s'ennuient
Des chansons que je sais que je traduis pour toi
T- Les voici, les voici, les voilà
1- Le soleil a rendez-vous avec la lune
2- Mais la lune n'est pas là et le soleil attend
3- Ici-bas, souvent chacun pour sa chacune
1- Chacun doit en faire autant
2- La lune est là,
3- la lune est là
1- La lune est là, mais le soleil ne la voit pas
2- Pour la trouver,
3- il faut la nuit
1- Il faut la nuit mais le soleil ne le sait pas
et toujours luit
2- Le soleil a rendez-vous avec la lune
3- Mais la lune n'est pas là et le soleil attend
T- Papa dit qu'il a vu ça lui
S- Des savants avertis par la pluie et le vent
Annonçaient, un jour la fin du monde
Les journaux commentaient
en termes émouvants
T- Les avis, les aveux, des savants
S- Bien des gens affolés demandaient aux agents
T- Si le monde était pris dans la ronde
S- C’est alors que docteurs, savants et professeurs
T- Entonnèrent subito tous en chœur
Le soleil a rendez-vous avec la lune...
S- Philosophes, écoutez
cette fable est pour vous
Le bonheur est un astre volage
Qui s'enfuit à l'appel
de bien des rendez-vous
Il s'efface, il se meurt devant nous
Quand on croit qu'il est loin,
il est là tout près de nous
Il voyage, il voyage, il voyage
Puis il part, il revient,
il s'en va n'importe où
Cherchez-le, il est un peu partout
1- Le soleil a rendez-vous avec la lune
2- Mais la lune n'est pas là et le soleil attend
3- Ici-bas, souvent chacun pour sa chacune
1- Chacun doit en faire autant
2- la lune est là
3- La lune est là
1- La lune est là,
2- la lune est là
3- la lune est là
1- La lune est là, mais le soleil ne la voit pas
2- Pour la trouver,
3- il faut la nuit
1- Il faut la nuit mais le soleil ne le sait pas
et toujours luit
2- Le soleil a rendez-vous avec la lune
3- Mais la lune n'est pas là et le soleil attend
T- Papa dit qu'il a vu ça lui
T- Papa dit qu'il a vu ça lui
Cm
Sous le toit de l'hôtel où je vis avec toi
Cm
Quand j'attends ta venue mon amie
Db
Quand la nuit fait chanter plus fort et mieux que moi
G7 Cm
Tous les chats, tous les chats, tous les chats
Cm
Que dit-on sur les toits que répètent les voix
Cm
De ces chats de ces chats qui s'ennuient
Db
Des chansons que je sais, que je traduis pour toi
G7 C
Les voici, les voici, les voilà.
[Chorus]
C G7 C F
Le soleil a rendez-vous avec la Lune
C Am D7 G7
Mais la lune n'est pas là et le soleil l'attend
C G7 C F
Ici-bas souvent chacun pour sa chacune
C G7 C
Chacun doit en faire autant
Em
La lune est là, la lune est là
La lune est là mais le soleil ne la voit pas
Dm
Pour la trouver il faut la nuit
D
Il faut la nuit mais le soleil ne le sait pas et toujours luit
G7 C G7 C F
Le soleil a rendez-vous avec la lune
C Am G7 C
Mais la lune n'est pas là et le soleil l'attend
Am Dm G7 C
Papa dit qu'il a vu ça lui.
[Verse 2]
Cm
Des savants avertis par la pluie et le vent
Cm
Annonçaient un jour la fin du monde
Db
Les journaux commentaient en termes émouvants
G7 Cm
Les avis, les aveux des savants
Cm
Bien des gens affolés demandaient aux agents
Cm
Si le monde était pris dans la ronde
Db
C'est alors que docteurs, savants et professeurs
G7 C
Entonnèr'nt subito tous en choeur.
[Chorus]
C G7 C F
Le soleil a rendez-vous avec la Lune
C Am D7 G7
Mais la lune n'est pas là et le soleil l'attend
C G7 C F
Ici-bas souvent chacun pour sa chacune
C G7 C
Chacun doit en faire autant
Em
La lune est là, la lune est là
La lune est là mais le soleil ne la voit pas
Dm
Pour la trouver il faut la nuit
D
Il faut la nuit mais le soleil ne le sait pas et toujours luit
G7 C G7 C F
Le soleil a rendez-vous avec la lune
C Am G7 C
Mais la lune n'est pas là et le soleil l'attend
Am Dm G7 C
Papa dit qu'il a vu ça lui.
[Verse 3]
Cm
Philosoph's écoutez cette fable est pour vous
Cm
Le bonheur est un astre volage
Db
Il s'enfuit à l'appel de bien des rendez-vous
G7 Cm
Il s'efface et se meurt devant nous
Cm
Quand on croit qu'il est loin, Il est là tout près d'vous
Cm
Il voyage il voyage il voyage
Db
Puis il part il revient, il s'en va n'importe où
G7 C
Cherchez le il est un peu partout.
[Chorus]
C G7 C F
Le soleil a rendez-vous avec la Lune
C Am D7 G7
Mais la lune n'est pas là et le soleil l'attend
C G7 C F
Ici-bas souvent chacun pour sa chacune
C G7 C
Chacun doit en faire autant
Em
La lune est là, la lune est là
Em
La lune est là mais le soleil ne la voit pas
Dm
Pour la trouver il faut la nuit
D
Il faut la nuit mais le soleil ne le sait pas et toujours luit
G7 C G7 C F
Le soleil a rendez-vous avec la lune
C Am G7 C
Mais la lune n'est pas là et le soleil l'attend
Am Dm G7 C
Papa dit qu'il a vu ça lui.
Y’a d’la joie
Y’a d’la joie
Bonjour, bonjour les hirondelles
Y’a d’la joie
Dans le ciel par dessus les toits
Y’a d’la joie
Et du soleil dans les ruelles
Tous Y’a d’la joie partout, y’a d’la joie
Tout le jour
Mon cœur bat, chavire et chancelle
C’est l’amour
Qui vient avec je ne sais quoi
C’est l’amour
Bonjour, bonjour les demoiselles
Tous Y’a d’la joie, partout, y’a d’la joie
Le gris boulanger
Bat la pâte à pleins bras
Il fait du bon pain
Du pain si fin que j’ai faim
On voit le facteur
Qui s’envole là-bas
Comme un ange bleu
Portant ses lettres au bon dieu
Miracle sans nom
À la station Javel
On voit le métro
Qui sort de son tunnel
Grisé de soleil
De chansons et de fleurs
Il court vers le bois
Il court à toute vapeur
Y’a d’la joie
La tour Eiffel part en ballade
Comme une folle
Elle saute la Seine à pieds joints
Puis elle dit
Solo "tant pis pour moi si j’suis malade
J’ m’embêtais tout’ seule dans mon coin"
Y’a d’la joie
Le percepteur met sa jaquette
Plie boutique
Et dit d’un air très doux, très doux :
Solo
"Bien l’bonjour pour aujourd’hui fini la quête
Gardez tout messieurs gardez tout"
Mais voilà qu’soudain
Je m’éveille dans mon lit
Donc, j’avais rêvé
Oui car le ciel est gris
Il faut se lever
Se laver, se vêtir
Et ne plus chanter
Si l’on n’a plus rien à dire
Mais je crois pourtant
Que ce rêve a du bon
Car il m’a permis
De faire une chanson
Chanson de printemps
Chansonnette d’amour
Chanson de 20 ans
Chanson de toujours
(Reprise du premier refrain)
D A7
Y a d'la joie bonjour bonjour les hirondelles
D A
Y a d'la joie dans le ciel par dessus le toit
D D7 G Fdim
Y a d'la joie et du soleil dans les ruelles
D Em7 A7 D
Y a d'la joie partout y a d'la joie
A7 D A7
Tout le jour, mon cur bat, chavire, et chancelle
D A
C'est l'amour qui vient avec je ne sais quoi
D D7 G Fdim
Qu'est l'amour bonjour, bonjour les demoiselles
D Em7 A7 D
Y a d'la joie partout y a d'la joie
[Verse 2]
D7 G
Le gris boulanger bat la pâte à pleins bras
D7 G Am7
Il fait du bon pain, du pain si fin que j'ai faim
D7
On voit le facteur qui s'envole là-bas
A7 D7
Comme un ange bleu portant ses lettres au Bon Dieu
G
Miracle sans nom à la station Javel
D7 G Am7
On voit le métro qui sort de son tunnel
D7
Grisé de ciel bleu de chansons et de fleurs
D7 G
Il court vers le bois il court à toute vapeur
[Verse 3]
D A7
Y a d'la joie la Tour-Eiffel part en ballade
D A
Comme une folle elle saute la Seine à pieds joints
D D7 G Fdim
Puis elle dit: "Tant pis pour moi si j'suis malade
D Em7 A7 D
J'm'ennuyais toute seule dans mon coin"
A7 D A7
Ya d'la joie le percepteur met sa jaquette
D A
Plie boutique et dit d'un air très doux, très doux
D D7 G Fdim
"Bien l'bonjour, pour aujourd'hui finie la quête
D Em7 A7 D
Gardez tout Messieurs gardez tout"
[Verse 4]
D7 G
Mais soudain voilà je m'éveille dans mon lit
D7 G Am7
Donc j'avais rêvé, oui, car le ciel est gris
D7
Il faut se lever, se laver, se vêtir
A7 D7
Et ne plus chanter si l'on a plus rien à dire
G
Mais je crois pourtant que ce rêve a du bon
D7 G Am7
Car il m'a permis de faire une chanson
D7
Chanson de printemps, chansonnette d'amour
D7 G
Chanson de vingt ans, chanson de toujours
Claude Nougaro
Le petit taureau de Toulouse, un poète à fleur de peau.
Armstrong
Armstrong, je ne suis pas noir
Je suis blanc de peau
Quand on veut chanter l'espoir
Quel manque de pot
Solo Oui, j'ai beau voir le ciel
Tous Le ciel
Solo l'oiseau
Tous l'oiseau
Solo Rien, rien, rien ne luit là-haut
Tous Les anges zéro
Je - suis - blanc - de - peau
Armstrong, tu te fends la poire
On voit toutes tes dents
Moi, je broie plutôt du noir
Du noir en dedans
Solo Chante pour moi Louis
Tous Louis
Solo Oh oui
Tous Oh oui
Solo Chante, chante, chante, ça tient chaud
Tous J'ai froid, oh moi
Qui - suis - blanc - de peau
Armstrong, la vie, quelle histoire
C'est pas très marrant
Qu'on l'écrive blanc sur noir
Ou bien noir sur blanc
Solo On voit surtout du rouge
Tous du rouge
Solo du rouge
Tous du rouge
Solo Sang, sang, sans trêve ni repos
Tous Qu'on soit ma foi
Noir - ou - blanc - de peau
Armstrong, un jour, tôt ou tard
On n'est que des os
Est-ce que les tiens seront noirs?
Ce serait rigolo
Solo Allez Louis
Tous Allez Luia........
Au-delà
de nos oripeaux-o
Noir et blanc
son-ont ressemblants
Com' -- deux -- gout--tes -- d'eau
[Verse]
Em B7 Em Am Em B7 Em A7
Armstrong, je ne suis pas noir, je suis blanc de peau
Em B7 Em Am Em B7 Em
Quand on veut chanter l'espoir quel manque de pot !
Em Am Em B7 Em Am
Oui, j'ai beau voir le ciel, l'oiseau, rien rien rien ne luit là-haut
Em Am7 Em B7 Em
Les anges, zéro, je suis blanc de peau
[Bridge]
Em G C B7 Em G C B7
[Verse]
Em B7 Em Am Em B7 Em A7
Armstrong, tu te fend la poire, on voit toutes tes dents
Em B7 Em Am Em B7 Em
Moi, je broie plutôt du noir, du noir en dedans
Em Am Em B7 Em Am
Chante pour moi, Louis, oh oui, chante chante chante, ça tient chaud
Em Am7 Em B7 Em
J'ai froid, oh moi, qui suis blanc de peau
[Verse]
Em B7 Em Am Em B7 Em A7
Armstrong, la vie, quelle histoire, c'est pas très marrant
Em B7 Em Am Em B7 Em
Qu'on l'écrive blanc sur noir ou bien noir sur blanc
Em Am Em B7 Em Am
On voit surtout du rouge, du rouge, sans sans sans trêve ni repos
Em Am7 Em B7 Em
Qu'on soit, ma foi, noir ou blanc de peau
[Verse]
Em B7 Em Am Em B7 Em A7
Armstrong, un jour, tôt ou tard, on n'est que des os
Em B7 Em Am Em B7 Em
Est-ce que les tiens seront noirs? Ce serait rigolo
Em Am Em B7 G7 A7
Allez, Louis, alléluia, au-delà de nos oripeaux
Em B7 Em
Noir et blanc sont ressemblants comme deux gouttes d'eau
Am Em
Oh Yeah
Félix Leclerc
Quand les hommes vivront d’amour
Quand les hommes vivront d’amour
Il n’y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts mon frère
Quand les hommes vivront d’amour
Ce sera la paix sur la terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous nous serons morts mon frère
Dans la grand’ chaîne de la vie
Où il fallait que nous passions
Où il fallait que nous soyons
Nous aurons eu la mauvaise partie…
Mais quand les hommes vivront d’amour
Qu’il n’y aura plus de misère,
Peut-être songeront-ils un jour
A nous qui serons morts mon frère
Nous qui aurons, aux mauvais jours
Dans la haine et puis dans la guerre
Cherché la paix, cherché l’amour
Qu’ils connaîtront alors mon frère,
Dans la grand’ chaîne de la vie
Pour qu’il y ait un meilleur temps
Il faut toujours quelques perdants,
De la sagesse ici bas c’est le prix
Quand les hommes vivront d’amour
Il n’y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts mon frère
François Morel
Tous les marins
sont des chanteurs
Pour raconter la solitude
Le vent qui souffle l'amitié
Le mal de mer et l'inquiétude
Le rhum qui fait tout oublier
Tous les marins sont des chanteurs
La la la liam la la lia la la liam
Tous les marins sont des chanteurs
La la la liam la la lia la la liam
Pour décrire la fille au village
Qu'on a laissée un matin gris
La vahiné sans son corsage
Doux souvenir de Tahiti Tous les marins ...
Pour emporter dans sa mémoire
Les tempêtes la houle et le sel
Pour espérer un jour revoir
Toutes les filles de La Rochelle Tous les marins ...
Pour dire que l'on se souvient
De Mimi Dédé et Jeannot
Ces gars si fiers d'être marins
Qui ont péri sur leur rafiot Tous les chanteurs...
Ils chantent fort et parfois faux
Mais ça n'a aucune importance
On peut entendre leurs sanglots
Quand ils entament À Recouvrance Tous les...
Pour se donner force et courage
Ils se disent qu'ils voient du pays
Buvant l'air frais au bastingage
Et qu'ils sont heureux d'être en vie Tous les...
Em
Pour raconter
B
la solitude
Em C
Le vent qui souffle
B7 Em
l'amitié
Em
Le mal de mer
B7
et l'inquiétude
Em C
Le rhum qui fait
B7 Em
tout oublier
Em Am
Tous les marins
D G
sont des chanteurs
C
Ba da la liam
B Em
ba diam ba da vam
Em Am
Tous les marins
D G
sont des chanteurs
C A
Da da da diam
B7 Em
ba da dia da da diam
Georges Brassens
Georges Brassens. Celui que tout le monde aurait aimé avoir pour copain, d'abord, et pour ami ensuite. Il est encore présent tous les jours dans nos pensées et ses chansons nous accompagnent tous les jours dans toutes les situations que nous rencontrons. Un grand et généreux poète !
Le temps ne fait rien à l'affaire
Quand ils sont tout neufs
Qu'ils sortent de l'œuf Du cocon
Tous les jeunes blancs-becs
Prennent les vieux mecs Pour des cons
Quand ils sont d'venus
Des têtes chenues Des grisons
Tous les vieux fourneaux
Prennent les jeunots Pour des cons
Moi, qui balance entre deux âges
J'leur adresse à tous un message
Le temps ne fait rien à l'affaire
Quand on est con, on est con
Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père
Quand on est con, on est con
Entre vous, plus de controverses
Cons caducs ou cons débutants
Petits cons d'la dernière averse
Vieux cons des neiges d'antan
Petits cons d'la dernière averse
Vieux cons des neiges d'antan
Vous, les cons naissants
Les cons innocents Les jeunes cons
Qui, n'le niez pas
Prenez les papas Pour des cons
Vous, les cons âgés
Les cons usagés Les vieux cons
Qui, confessez-le
Prenez les p'tits bleus Pour des cons
Méditez l'impartial message
D'un qui balance entre deux âges
Marinette
Quand j'ai couru chanter
ma petite chanson pour Marinette
La belle, la traîtresse
était allée à l'opéra
Avec ma petite chanson,
j'avais l'air d'un con,
ma mère
Avec ma petite chanson,
j'avais l'air d'un con
Quand j'ai couru porter
mon pot de moutarde à Marinette
La belle, la traîtresse
avait déjà fini d'dîner
Avec mon petit pot,
j'avais l'air d'un con,
ma mère
Avec mon petit pot,
j'avais l'air d'un con
Quand j'offris pour étrenne
une bicyclette à Marinette
La belle, la traîtresse
avait acheté une auto
Avec mon petit vélo,
j'avais l'air d'un con,
ma mère
Avec mon petit vélo,
j'avais l'air d'un con
Quand j'ai couru tout chose
au rendez-vous de Marinette
La belle disait "je t'adore"
à un sale type qui l'embrassait
Avec mon bouquet d'fleurs,
j'avais l'air d'un con,
ma mère
Avec mon bouquet d'fleurs,
j'avais l'air d'un con
Quand j'ai couru brûler
la petite cervelle à Marinette
La belle était déjà
morte d'un rhume mal placé
Avec mon revolver,
j'avais l'air d'un con,
ma mère
Avec mon revolver,
j'avais l'air d'un con
Quand j'ai couru lugubre
à l'enterrement de Marinette
La belle, la traîtresse
était déjà ressuscitée
Avec ma petite couronne,
J'avais l'air d'un con,
ma mère
Avec ma petite couronne
j'avais l'air d'un con
E
Quand j'ai couru chanter ma petite chanson pour Marinette
E7
La belle, la traîtresse était allée à l'opéra
A B7 E C#7
Avec ma p'tit chanson, j'avais l'air d'un con, ma mère,
F#m B7 E F(dim) F#m7 B7
Avec ma p'tit chanson, j'avais l'air d'un con.
[Verse 2]
E
Quand j'ai couru porter mon pot de moutarde à Marinette
E7
La belle, la traîtresse avait déjà fini d'dîner
A B7 E C#7
Avec mon petit pot, j'avais l'air d'un con, ma mère,
F#m B7 E F(dim) F#m7 B7
Avec mon petit pot, j'avais l'air d'un con.
[Verse 3]
E
Quand j'offris pour étrennes un' bicyclette à Marinette
E7
La belle, la traîtresse avait acheté une auto,
A B7 E C#7
Avec mon p'tit vélo, j'avais l'air d'un con, ma mère,
F#m B7 E F(dim) F#m7 B7
Avec mon p'tit vélo, j'avais l'air d'un con.
[Verse 4]
E
Quand j'ai couru tout chose au rendez-vous de Marinette
E7
La bell' disait : " J' t'adore " à un sal' typ' qui l'embrassait
A B7 E C#7
Avec mon bouquet d' fleurs, j'avais l'air d'un con, ma mère,
F#m B7 E F(dim) F#m7 B7
Avec mon bouquet d' fleurs, j'avais l'air d'un con.
[Verse 5]
E
Quand j'ai couru brûler la p'tit' cervelle à Marinette
E7
La belle était déjà morte d'un rhume mal placé,
A B7 E C#7
Avec mon revolver, j'avais l'air d'un con, ma mère,
F#m B7 E F(dim) F#m7 B7
Avec mon revolver, j'avais l'air d'un con.
[Verse 6]
E
Quand j'ai couru lugubre à l'enterr'ment de Marinette
E7
La belle, la traîtresse était déjà ressuscitée
A B7 E C#7
Avec ma p'tit couronn', j'avais l'air d'un con, ma mère,
F#m B7 E F(dim) F#m7 B7
Avec ma p'tit couronn', j'avais l'air d'un con.
Graeme Allwright
À 18 ans, la rencontre avec ce chanteur est fusionnelle. Ses chansons se dressent contre l'injustice, le conformisme, les apparences trompeuses. Nous étions nombreux à épouser son idéal. Ses chansons restent gravées dans nos cœurs, et rien ne pourra les effacer : "Le temps est moins de nos 2O ans mais buvons encore une dernière fois à l'amitié l'amour la joie..."
Billy boy
Oh dis-moi d'où viens-tu
Billy Boy, Billy Boy
Oh dis-moi d'où viens-tu, charmant Billy
J'ai trouvé une jolie fille
Elle est la joie de ma vie
Elle est jeune et n'peut pas quitter sa maman.
Dis-moi, a-t-elle dit d'entrer,
Billy Boy, Billy Boy
Dis-moi, a-t-elle dit d'entrer, charmant Billy ?
Oui, elle m'a dit : "Entrez donc"
Et j'ai baisé son menton
Elle est jeune et n'peut pas quitter sa maman.
Oh dis-moi quel âge a-t-elle,
Billy Boy, Billy Boy
Oh dis-moi quel âge a-t-elle, charmant Billy
Quatre fois sept et trois fois six
Deux fois neuf, vingt-huit moins dix
Elle est jeune et n'peut pas quitter sa maman.
Sait-elle faire une tarte aux fraises,
Billy Boy, Billy Boy ?
Sait-elle faire une tarte aux fraises,
charmant Billy ?
Elle sait faire une tarte aux fraises
Un jour elle m'en a fait treize
Elle est jeune et n'peut pas quitter sa maman.
Est-ce qu'elle reprise les chaussettes,
Billy Boy, Billy Boy ?
Est-ce qu'elle reprise les chaussettes,
charmant Billy ?
Oui elle reprise les chaussettes
Après on n'peut pas les mettre
Elle est jeune et n'peut pas quitter sa maman.
Et peut-elle faire autre chose,
Billy Boy, Billy Boy
Et peut-elle faire autre chose, charmant Billy
Oui elle peut faire autre chose
Mais le dire, je ne l'ose
Elle est jeune et n'peut pas quitter sa maman.
Jean-Michel Caradec
Quel dommage que ce talentueux chanteur nous ait quitté si jeune suite à un accident de voiture.
La Colline aux coralines
Deux petites flaques
Un oiseau qui boite
Sur le chemin
Donnons-nous la main
Sautons la barrière
Dans les fougères
Cherchons les fleurs
De l’accroche-cœur
De Caroline
À Madeline
Christophe ou Lison
Sur la colline
Aux coralines
Chantent cette chanson
Si les paroles
Sont un peu folles
C’est que les enfants
Inventent tout le temps
Chasse l’autruche
À cache-cache truche
Quatre moutons
Fument sur le balcon
Changeons le monde
Une seconde
Ça fera pas de mal
Au règne animal
C’est la baleine
Qui fera la laine
Et le chasseur
Qui aura peur
Le joueur de flûte
A fait la culbute
Son pantalon
N’a plus de fond
La nuit qui tombe
Fait grandir les ombres
II faut rentrer
Maman va s’inquiéter
Et Caroline Et Madeline
Christophe et Lison
Sur la colline
Aux coralines
Se séparent en chansons
Joe Dassin
L’Équipe à Jojo
On allumait une cigarette
Et tout s’allumait
Et c’était la fête, le quatorze juillet
Il n’y avait jamais un copain de trop
Dans l’équipe à Jojo
Y avait moins de nuits sans guitare
Que de jours sans pain
On partageait tout et on n’avait rien
Qu’est-ce qu’on était fous,
Qu’est-ce qu’on s’en foutait
Qu’est-ce qu’on était bien
Lulu vendait ses toiles
Jacquot plongeait dans un bistrot
Dédé goûtait les vins
Moi, j’étais fort aux Halles
Et Gégé lavait les carreaux
Pierrot ne faisait rien
On s’était fait les poches
Pour se payer un vieux tacot
Fleuri sur le capot
Qui rêvait de Provence
Et qui mourut à Fontainebleau
On louait pour des prunes
Les quatre murs d’un vieux grenier
Tout prêt à s’écrouler
Mais pour toute une fortune
On n’aurait pas déménagé
Lucien a mis les voiles
Et Jacques s’est payé un bistrot
Où André boit de l’eau
Je n’suis plus fort aux Halles
Roger inspecte les impôts
Pierre cherche du boulot
J’ai changé de guitare
Mais j’ai gardé comme un cadeau
Un air qui me tient chaud
Au fond de ma mémoire
Celui de l’équipe à Jojo
Kids United
On écrit sur les murs
On écrit sur les murs
le nom de ceux qu’on aime
Des messages pour les jours à venir
On écrit sur les murs
à l’encre de nos veines
On dessine tout ce que l’on voudrait dire
On écrit sur les murs
la force de nos rêves
Nos espoirs en forme de graffiti
On écrit sur les murs
pour que l’amour se lève
Un beau jour sur le monde endormi
Partout autour de nous
Y’a des signes d’espoir dans les regards
Donnons leur écrit
Car dans la nuit
Tout s’efface
Même leur trace
On écrit sur les murs...
Des mots seulement gravés
Pour ne pas oublier, pour tout changer
Mélangeons demain dans un refrain
Nos visages
Métissage
On écrit sur les murs... (tout le refrain)
Très doux, presque bouche fermée
On écrit sur les murs
le nom de ceux qu’on aime
Des messages pour les jours à venir
On écrit sur les murs
à l’encre de nos veines
On dessine tout ce que l’on voudrait dire
Reprise forté des 2 On écrit sur les murs...
L'art à tatouille
Ô Pétard
Je suis un vrai sauvage
Des cabanes de Mauguio
C'est l'été loin de la plage
L'hiver, les pieds dans l'eau
Mais quand l'apéro s'engage
Même par mauvais temps
Même sous les nuages
Je chante au bord de l'étang
Oh pétard, pétard, qu'il fait beau
Oh pétard, pétard, qu'il fait chaud
Ici même les mouettes bronzent
Oh pétard de loin on dirait des corbeaux
Comme les marguerites ou comme les abeilles
On a toujours la frite quand on est au soleil
Les cabaniers du midi
sont tous un peu menteurs
Et même sous la pluie,
ils chantent tous en chœur
Oh pétard, pétard, qu'il fait beau...
Je suis un vrai sauvage
Des cabanes de Mauguio
C'est l'été loin de la plage
L'hiver, les pieds dans l'eau
Mais quand l'apéro s'engage
Même par mauvais temps
Même sous les nuages
Je chante au bord de l'étang
Oh pétard, pétard, qu'il fait beau
Oh pétard, pétard, qu'il fait chaud
Ici même les mouettes bronzent
Oh pétard de loin on dirait des corbeaux
Oh pétard, pétard, qu'il fait beau
Oh pétard, pétard, qu'il fait chaud
Ici même les mouettes bronzent
Oh pétard de loin on dirait des corbeaux
Oh pétard de loin on
Oh pétard de loin on
Oh pétard de loin...//
On dirait des corbeaux
Les Compagnons de la Chanson
Hava nagila
Hava nagila
Hava nagila
Hava nagila
Vé-énis mecha.
Hava nagila
Hava nagila
Hava nagila
Vé-énis mecha.
Hava neranena
Hava neranena
Hava neranena Venis mecha
Hava neranena
Hava neranena
Hava neranena Venis mecha
Ourou, ourou, ourou
Ourou akhim b'lev sameakh
Ourou akhim b'lev sameakh
Ourou akhim b'lev sameakh
Ourou akhim b'lev sameakh
Ourou akhim
Ourou akhim !
B'lev sameakh
Dansons car dans les granges
Le blé se range
C’est le dernier jour des moissons
Dansons sur cette terre
Fertile et fière
Qui reverra notre sillon
Dansons sans plus penser
Au mal qu’on s’est donné
Pour faire lever le grain
Qu’on vendra demain
Dansons pour oublier
Sous le ciel étoilé
Nos peines et nos peurs
Que le grain ne meure Laï laï laï laï laï
Et ma joie devient complète
Près de toi le temps s’arrête
Dans tes bras je perds la tête
Et tout prend un air de fête
Serre-moi jusqu’au jour
Dansons, dansons, mon amour
Hava nagila, Hava nagila,
Hava nagila, Venis mecha.
Hava nagila, Hava nagila,
Hava nagila, Venis mecha. AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Hava nagila avec traduction
E - Am - Dm
Hava nagila
Réjouissons-nous
Hava nagila
Hava nagila
Vé-énis mecha.
Réjouissons-nous et soyons heureux
Hava nagila
Hava nagila
Hava nagila
Vé-énis mecha.
Hava neranena
Chantons
Hava neranena
Hava neranena Venis mecha
Chantons et soyons heureux
Hava neranena
Hava neranena
Hava neranena Venis mecha
Ourou, ourou, ourou
Réveillez-vous
Ourou akhim b'lev sameakh
Réveillez-vous frères et soyons heureux
Ourou akhim b'lev sameakh
Ourou akhim b'lev sameakh
Ourou akhim b'lev sameakh
Ourou akhim
Ourou akhim !
B'lev sameakh
Dansons car dans les granges
Le blé se range
C’est le dernier jour des moissons
Dansons sur cette terre
Fertile et fière
Qui reverra notre sillon
Dansons sans plus penser
Au mal qu’on s’est donné
Pour faire lever le grain
Qu’on vendra demain
Dansons pour oublier
Sous le ciel étoilé
Nos peines et nos peurs
Que le grain ne meure
Laï laï laï laï laï
Et ma joie devient complète
Près de toi le temps s’arrête
Dans tes bras je perds la tête
Et tout prend un air de fête
Serre-moi jusqu’au jour
Dansons, dansons, mon amour
Hava nagila, Hava nagila,
Hava nagila, Venis mecha.
Hava nagila, Hava nagila,
Hava nagila, Venis mecha. AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
La licorne
Quand Dieu fit l’univers il mit sur la terre
des milliers d’animaux inconnus aujourd’hui
mais la plus jolie dans ce vert paradis
la plus drôle la plus mignonne, c’était la licorne
Y avait
Des gros crocodiles
des orangs-outangs
des affreux reptiles
et des jolis moutons blancs
des chats
des rats
des éléphants
mais la plus mignonne
de toutes les bêtes à cornes,
C’était la licorne.
Quand il vit les pécheurs
faire leurs premiers péchés
Dieu se mit en colère et appela Noé:
mon bon vieux Noé, je vais noyer la terre
construis-moi un bateau pour flotter sur l’eau
Mets-y
des gros Crocodiles. des orangs-outangs des affreux reptiles et des jolis moutons blancs des chats des rats des éléphants
Mais n'oublie personne
N'oublie pas la mignonne La jolie licorne
Quand son bateau fut prêt
à surmonter les flots,
Noé y fit monter les animaux deux par deux
et déjà la pluie commençait à tomber
quand il cria
"Seigneur! j’ai fait pour le mieux ! "
J'ai mis
des gros Crocodiles. des orangs-outangs des affreux reptiles et des jolis moutons blancs des chats des rats des éléphants
Mais n'oublie personne
N'oublie pas la mignonne La jolie licorne
Elles riaient les mignonnes
et pataugeaient dans l’eau,
s’amusant comme des folles,
sans voir que le bateau
emmené par Noé, les avait oubliées
et puis jamais personne n’a vu de licorne
On voit
des gros Crocodiles. des orangs-outangs des affreux reptiles et des jolis moutons blancs des chats des rats des éléphants
Mais jamais personne
Ne verra la mignonne la jolie licorne
Le sous-marin vert
Nous partions dans un beau sous-marin vert,
Un sous-marin vert, vert comme la mer
Tantôt vert, tantôt vert et tantôt bleu
Tantôt vert et bleu comme nos rêves bleus.
Nous avions tous le même âge
Le même âge, les mêmes joies
Quand un jour dans le village
Un vieil homme nous raconta
Ses séjours au fond des mers
Dans un beau sous-marin vert
Aussitôt, sans un adieu
Capitaine courageux…
Prévoyant des jours de fête
À la gloire du commandant
Nous avions une fanfare
Toujours prête au bon moment
Popopopom pompom pompom…
Maintenant nous sommes des hommes
Et parfois quand rien ne va
Quand nos jours sont monotones
Dans un rêve comme autrefois...
Qu’il fait bon vivre
Qu’il fait bon vivre, quand on revient chez soi
Que l’on revoit le toit où vous attend la joie,
La joie de vivre, les amis d’autrefois,
Bonjour me revoilà
Sur les chemins par le monde
j’ai navigué longtemps
Avant de m’apercevoir
que notre terre était ronde
Comme un ballon d’enfant
je reviens plein d’espoir
Qu’il fait bon vivre, quand on revient chez soi
Que l’on revoit le toit où vous attend la joie,
La joie de vivre, les amis d’autrefois,
Bonjour me revoilà
Qu’il fait bon vivre,
au ciel de son pays,
Après de longues nuits,
et de longs jours d’oubli,
Qu’il fait bon vivre,
ah qu’il est beau le jour,
le jour de mon retour
Tout le pays est en fête
et toi tu me souris,
Mon cœur est tout en émoi,
je vois combien j’étais bête
Je comprends tout le prix,
de mon amour pour toi
Qu’il fait bon vivre, quand on revient chez soi
Que l’on revoit le toit où vous attend la joie,
La joie de vivre les amis d’autrefois,
Bonjour me revoilà
Bonjour
Bonjour
Bonjour
Bonjour
Nous revoilà !
Les Frères Jacques
En sortant de l’école
En sortant de l’école
Nous avons rencontré
Un grand chemin de fer
Qui nous a emmenés
Tout autour de la Terre
Dans un wagon doré. Respiration
Tout autour de la terre
Nous avons rencontré...... (suspense)
La Mer qui se promenait
Avec tous ses coquillages
Ses îles parfumées
Et puis ses beaux naufrages
Et ses saumons fumés. Respiration
Au-dessus de la mer
Nous avons rencontré.......... (suspense)
La Lune et les étoiles
Sur un bateau à voiles
Partant pour le Japon
Et les trois mousquetaires
des cinq doigts de la main
Tournant la manivelle
d’un petit sous-marin
Plongeant au fond des mers
Pour chercher des oursins. Respiration
Revenant sur la terre
Nous avons rencontré
Sur la voie de chemin de fer
Une maison qui fuyait
Fuyait tout autour de la terre
Fuyait tout autour de la mer
Fuyait devant l’Hiver
Qui voulait l’attraper.
Mais nous sur notre chemin de fer
On s’est mis à rouler
Rouler derrière l’hiver
Et on l’a écrasé
Et la maison s’est arrêtée Respiration
Et le Printemps nous a salués...
C’était lui le garde-barrière
Et il nous a bien remercié Respiration
Et toutes les Fleurs de la terre
Soudain se sont mises à pousser
Pousser à tort et à travers
Sur la voie de chemin de fer
Qui ne voulait plus avancer....
De peur de les abîmer. Respiration
Alors… On marche : départ pied gauche
-On-est re-ve-nu-à pied-
-À pied-tout autour de la terre-
-À pied - tout autour de la mer-
-Tout autour du soleil-
-De la lune et des étoiles-
-A pied-
-à cheval-
-en voiture-
Les bras en l'air Et en bateau à voiles.
La branche
Le soleil
est venu
Se poser ce matin sur la branche
Un oiseau
est venu
Se baigner de soleil sur la branche
Elle était
si fragile
Si ténue qu’elle ployait cette branche
Chaque instant
je croyais
Qu’elle allait se briser cette branche
C’est comme ça qu’on vit sa vie
On est sur une corde raide
À chaque instant, on croit qu’elle cède
Et puis un peu de soleil luit
et on oublie…
Qu’elle peut
se briser
À toute heure brusquement cette branche
Sur laquelle
on se tient
On s’accroche et on glisse et l’on flanche
Un oiseau
est venu
Se poser ce matin sur la branche
Il se baigne
au soleil
Doucement insouciant se balance
Sur la branche
C’est comme ça qu’on vit sa vie
On est sur une corde raide
À chaque instant, on croit qu’elle cède
Et puis un peu de soleil luit
et on oublie
La Marie-Joseph
Encore heureux qu’il ait fait beau
Et qu’la Marie-Joseph soit un bon bateau
Encore heureux qu’il ait fait beau
Et qu’la Marie-Joseph soit un bon bateau
Ça nous a pris
Trois mois complets
Pour découvrir quels étaient ses projets
Quand le père nous l’a dit Ahhhhhhhh ! C’était trop beau --------
Pour les vacances nous avions un bateau
D’un bond d’un seul et sans hésitations
On s’documente sur la navigation
En moins d’huit jours nous fûmes persuadés
Qu’ la mer pour nous n’aurait plus de secrets
Le père alors fit preuve d’autorité
Solo J’suis ingénieur, laissez-moi commander
brrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr rires
Tous D’vant le résultat on lui a suggéré
Qu’un vrai marin vienne nous accompagner
Solo Alors j’ai dit : "j’vais prendre la direction
Ancien marin, j’sais la navigation"
Rires sarcastiques appuyés et long
Solo J’commence à croire qu’ c’était prématuré
Tous Faut pas confondre Guitare et Naviguer
Au bout d’trois heures de notre exhibition
L’un d’nous se r’lève avec stupéfaction
Car on s’était pas beaucoup déplacé
Rapport à l’ancre // qu’on n’avait pas r’montée
Solo Côté jeunes filles, c’était pas mal...
Tous Ça nous a coûté l’écoute de grand-voile
En la coupant Suzon dit :
Solo « J’me rappelle
Qu’un d’mes louv’teaux voulait de la ficelle »
Pour la deuxième fallait pas la laisser
Toucher la barre ou même s’en approcher
Car en moins d’deux on était vent debout
Fort bruit du vent dans les voiles qui faseillent
Solo « J’aime tant l’expression…
Tous disait-elle…
Solo pas vous ?
Quand finalement on a pu réparer
Alors on s’est décidé à rentrer
Mais on n’a jamais trouvé l’appontement
Car à minuit… on n’y voit pas tellement.
Encore heureux qu’il ait fait beau...
On dit : « Maussade comme un marin breton »
Moi j’peux vous dire
qu ’c’est pas mon impression
Car tous les gars du côté d’Noirmoutier
Ne sont pas prêts d’arrêter de rigoler
Rires qui fusent
En rigolant Encore heureux qu’il ait fait beau...
Le Général Castagnétas
C’était le plou grand zénéral dou Mexique
José de las Castagnetas
C’était vraiment ouné type fantastique
C’était oune as ! oune très grand as !
Il était né à Mexico
C’était oune drôle de zigoto
Ça n’est pas qu’il était costaud
Ah part ça il était très beau
Il portait oune grand sombrero
Il avait oune pistoleto
Avec des sabres et des couteaux
Qué ça donnait froid dans le dos
C’était le plou grand zénéral dou Mexique...
Sa moustasse était comé ça
Ses épaulettes comé ça
Son sombrero grand comé ça
Ma loui l’était grand comé ça - Ma !!!
C’était le plou grand zénéral dou Mexique...
Ma il faut faire bien attention
Avec ces révoloutions
Qué pour un oui qué pour un non
On prend une balle dans le citron
Sa mort était pour la natsionn’
Une terrible perdition
Et c’était pour cette raisonn’
Qu’il sortait pas de sa maison
C’était le plou grand zénéral dou Mexique...
S. Il avait des médailles Ts tout ça
S. Oune masque à gaz Ts comé ça
S.Dos arquébous Ts non pas dos tres arquébous comé ça
S. Pour lui qui était grand comé ça
Ts Non pas comé ça comé ça Ma !!!
C’était le plou grand zénéral dou Mexique...
Pourtant on eut bésoin de loui
On vint le serser oune nouit
Qué cette fois dans le pays
Ça sentait oune peu ......... le roussi
Pada pada pada pampam
Bab Mon zénéral hardi hardi
Trib Debout là-d’dans qu’on loui a dit
Bab Mais il en fut tellement surpris
Trib Qu’il en tomba mort dans son lit
Pom pom popom pompopom popom popom
C’était le plou grand zénéral dou Mexique
José de las Castagnetas
On lui fit des founérailles fantastiques
Founerallas nacionalas
S Avec des larmes Ts comé ça
S Des couronnes Ts comé ça
S Des discours longs Ts comé ça
Por loui qu’était grand comé ça - Ma !!!
C’était le plou grand zénéral dou Mexique...
José de las Castagnetas
C’était vraiment ouné type fantastique
C’était oune as ! oune très grand as !
C’était le plou grand zénéral dou Mexique
Y a pas qu’chez eux qu’y en comme ça Tagada Car nous on en a vu des tas
Des petits des grands des gros des gras Anda !!!
Michel Delpech
Chez Laurette
À sa façon de nous appeler ses "gosses"
On voyait bien qu’elle nous aimait beaucoup
C’était chez elle que notre argent de poche
Disparaissait dans les machines à sous
Après les cours, on allait boire un verre
Quand on entrait, Laurette souriait
Et d’un seul coup, nos leçons, nos problèmes
Disparaissaient quand elle nous embrassait
C’était bien chez Laurette
Quand on faisait la fête
Elle venait vers nous, Laurette
C’était bien, c’était chouette
Quand on était fauchés
Elle payait pour nous, Laurette
Et plus encore, afin qu’on soit tranquilles
Dans son café, y avait un coin pour nous
On s’y mettait pour voir passer les filles
Et j’en connais qui nous plaisaient beaucoup
Si par hasard, on avait l’âme en peine
Laurette seule savait nous consoler
Elle nous parlait et l’on riait quand même
En un clin d’œil, elle pouvait tout changer
C’était bien chez Laurette
On y retournera
Pour ne pas l’oublier, Laurette
Ce sera bien, ce sera chouette
Et on reparlera
Des histoires du passé, chez Laurette
Ce sera bien, ce sera chouette
Et on reparlera
Des histoires du passé, chez Laurette
Dm7 Gm7
A sa façon de nous appeler ses gosses
C7 FM7
On voyait bien qu'elle nous aimait beaucoup
A#M7 Gm6
C'était chez elle que notre argent de poche
A7 Dm
Disparaissait dans les machines à sous.
Dm7 Gm7
Après les cours, on allait boire un verre
C7 FM7
Quand on entrait, Laurette souriait
A# Gm6
Et d'un seul coup, nos leçons, nos problèmes
A7 Dm
Disparaissaient quand elle nous embrassait.
Dm7 Gm7 C7 FM7
C'était bien chez Laurette, quand on faisait la fête
A#M7 Gm6 D Dm6
Elle venait vers nous, Laurette.
Dm7 Gm7
C'était bien, c'était chouette
C7 FM7
Quand on était fauchés
A#M7 Gm6 Dm
Elle payait pour nous, Laurette.
Dm7 Gm7
Et plus encore, afin qu'on soit tranquilles,
C7 FM7
Dans son café, y'avait un coin pour nous.
A#M7 Gm6
On s'y mettait pour voir passer les filles,
A7 Dm
Et j'en connais qui nous plaisaient beaucoup.
Dm7 Gm7
Si, par hasard, on avait l'âme en peine,
C7 FM7
Laurette seule savait nous consoler.
A# Gm6
Elle nous parlait et l'on riait quand même.
A7 Dm
En un clin d'oeil, elle pouvait tout changer
Dm7 Gm7 C7 FM7
C'était bien chez Laurette , on y retournera,
A#M7 Gm6 D Dm6
Pour ne pas l'oublier , Laurette.
Dm7 Gm7
Ce sera bien., ce sera chouette,
C7 FM7 A#M7 Gm6
Et l'on reparlera des histoires du passé,
A7 Dm
Chez Laurette.
X
Michel Fugain
Je n'aurai pas le temps
Mmmmmmmmmmmm
Je n'aurai pas le temps, pas le temps
Même en courant
Plus vite que le vent
Plus vite que le temps
Même en volant
Je n'aurai pas le temps, pas le temps
De visiter
Toute l'immensité
D'un si grand univers
Même en cent ans
Je n'aurai pas le temps de tout faire
J'ouvre tout grand mon cœur
J'aime de tous mes yeux
C'est trop peu
Pour tant de cœurs et tant de fleurs
Des milliers de jours
C'est bien trop court, c'est bien trop court
Et pour aimer
Comme l'on doit aimer
Quand on aime vraiment
Même en cent ans
Je n'aurai pas le temps, pas le temps
Mmmmmmmmmmmm
Je n'aurai pas le temps, pas le temps
| F C | F C | F Gm | C |
| A | Dm A# | F C | F |
Je n'aurai pas le temps, pas le temps.
F C F Gm C
Même en courant, plus vite que le vent, plus vite que le temps.
A Dm A# F C F
Même en volant, je n'aurai pas le temps, pas le temps.
[Verse 2]
F C F C F Gm C
De visiter toute l'immensité d'un si grand univers,
A Dm A# F C F
même en cent ans, je n'aurai pas le temps de tout faire.
[Bridge]
Dm E7 Am C G C
J'ouvre tout grand mon cœur, j'aime de tous mes yeux;
F A# F A# F C F
c'est trop peu pour tant de cœurs et tant de fleurs,
A# F/A A# F C F
des milliers de jours, c'est bien trop court, c'est bien trop court.
[Verse 3]
F C F C F Gm C
Et pour aimer comme l'on doit aimer quand on aime vraiment,
A Dm A# F C F
même en cent ans, je n'aurai pas le temps, pas le temps.
[Outro]
| F C | F C | F Gm | C |
| A | Dm A# | F C | F* A#* F* |
Je n'aurai pas le temps, pas le temps.
Nadau
De cap tà l’immortèla
Haut Peiròt, vam caminar, vam caminar,
De cap tà l’immortèla
Haut Peiròt, vam caminar, vam caminar,
Lo país vam cercar.
Solo Sèi un país e ua flor,
Tous e ua flor e ua flor,
Solo Que l’aperam la de l’amor,
Tous la de l’amor, la de l’amor.
Solo Au som deu malh, que i a ua lutz
Tous que i a ua lutz, que i a ua lutz,
Solo Qu’i cau guardar los uèlhs dessús
Tous los uèlhs dessús, los uèlhs dessús
Solo Que’ns cau traucar tot lo segàs
Tous tot lo segàs, tot lo segàs,
Solo Tà’ns arrapar, sonque las mans
Tous sonque las mans, sonque las man
Solo Lhèu veiram pas jamai la fin
Tous jamai la fin, jamai la fin,
Solo La libertat qu’ei lo camin,
Tous qu’ei lo camin, qu’ei lo camin
Plus lentement
Solo Après lo malh, un aute malh,
Tous un aute malh, un aute malh
Solo Après la lutz, ua auta lutz,
Tous ua auta lutz, ua auta lutz
(Refrain repris 4 fois : lentement et piano au début
et de plus en plus fort vite)
TRADUCTION
Viens petit Pierre on va marcher
Vers l’immortelle
Viens petit Pierre on va marcher
On va se chercher le pays
Je sais un pays et une fleur
On l’appelle celle de l’amour
En haut du Pic, il y a une lumière
Il faut y garder les yeux dessus
Il faudra passer à travers les ronces
pour s’accrocher seulement les mains
On en verra jamais la fin
La liberté c’est le chemin
Après le sommet un autre sommet
Après la lumière, une autre lumière
Quin beròi dia
Quin beròi dia quin beròi dia
Quin beròi dia avèm volgut
Quin beròi dia quin beròi dia
Quin beròi dia avèm viscut
Quand cada lo vent de la tempèsta
lo cèl que’s tornèt trobar la paz
De segur n’èran pas trop de hèsta
mes totum de d’òra levat
Avans de partir per cortesia
Cadun que’s deisse lo chepiqué
Sonque los arbres la grand holia
Que cadun portava com’podé
N’avèm pas mei los pès sus la tèrra
Sus lo teit tempsat de Cazabon
Non sei perqué gahèm la ridèra
En se har passar los teules
Lo ser qu’aluquèm quate candèlas
ne’t disi pas çò qu’avèm hartat
Dens lo vin que hasé coma estelas
Qu’aurem dit electricitats
Quin beròi dia avec traduction
Quin beròi dia quin beròi dia
Quelle belle journée,
Quin beròi dia avèm volgut
Quelle belle journée on a voulue
Quin beròi dia quin beròi dia
Quelle belle journée,
Quin beròi dia avèm viscut
Quelle belle journée on a vécue
Quand cada lo vent de la tempèsta
Quand le vent de la tempête est tombé
lo cèl que’s tornèt trobar la paz
Le Ciel a retrouvé la paix
De segur n’èran pas trop de hèsta
C’est sûr on était pas à la fête
mes totum de d’òra levat
Pourtant on s’est levé de bonne heure
Avans de partir per cortesia
Avant de partir par courtoisie
Cadun que’s deisse lo chepiqué
Chacun a laissé ses soucis
Sonque los arbres la grand holia
Sauf la grande folie des arbres
Que cadun portava com’podé
Que chacun portait comme il pouvait
N’avèm pas mei los pès sus la tèrra
On n’avait plus les pieds sur terre
Sus lo teit tempsat de Cazabon
Sur le toit de chez Cazaubon
Non sei perqué gahèm la ridèra
Je ne sais pas comment on a attrapé le fou rire
En se har passar los teules
En se faisant passer les tuiles
Lo ser qu’aluquèm quate candèlas
Le soir on a allumé des bougies
ne’t disi pas çò qu’avèm hartat
Je vous dis pas ce qu’on a mangé
Dens lo vin que hasé coma estelas
Dans le vin ça faisait comme des étoiles
Qu’aurem dit electricitats
On aurait dit de l’électricité
Occitans, Basques, Corses, Italien...
Bella Ciao
Récitatif très lent
Una mattina mi son svegliato
O bella, ciao! bella, ciao!
Una mattina mi son svegliato
E ho trovato l’invasor
Bien rythmé 1-2-3 en accélérant
O partigiano, portami via
O bella, ciao! bella, ciao! bella, ciao, ciao, ciao!
O partigiano, portami via
Ché mi sento di morir
La la la la - la la la la -
Très rapide
Una mattina mi son svegliato
O bella, ciao! bella, ciao!
Una mattina mi son svegliato
E ho trovato l’invasor
O partigiano, portami via
O bella, ciao! bella, ciao! bella, ciao, ciao, ciao!
O partigiano, portami via
Ché mi sento di morir
La la la la - la la la la -
Récitatif très lent
E se io muoio da partigiano
O bella, ciao! bella, ciao! bella, ciao, ciao, ciao!
E se io muoio da partigiano
Tu mi devi seppellir
Bien rythmé 1-2-3 en accélérant
E seppellire lassù in montagna
O bella, ciao! bella, ciao! bella, ciao, ciao, ciao!
E seppellire lassù in montagna
Sotto l’ombra di un bel fior
La la la la - la la la la -
Très rapide
Tutte le genti che passeranno
O bella, ciao! bella, ciao! bella, ciao, ciao, ciao!
Tutte le genti che passeranno
E poi diranno «Che bel fior!»
E questo è il fiore del partigiano
O bella, ciao! bella, ciao! bella, ciao, ciao, ciao!
E questo è il fiore del partigiano
Morto per la libertà
E questo è il fiore
del partigiano
Morto - per - la - libertà
Bella Ciao (avec traduction)
RÉCITATIF TRÈS LENT
Una mattina mi son svegliato
Un matin je me suis levé
O bella, ciao! bella, ciao!
O belle, au revoir! belle, au revoir!
Una mattina mi son svegliato
Un matin je me suis levé
E ho trovato l’invasor
Et j’ai trouvé l’envahisseur
RYTHMÉ (123) LENT, DE PLUS EN PLUS RAPIDE
O partigiano, portami via
O partisan, emmène-moi
O bella, ciao! bella, ciao! bella, ciao, ciao, ciao!
O partigiano, portami via
O partisan, emmène-moi
Ché mi sento di morir
Parce que j’ai l’impression de mourir
La la la la - la la la la -
La la la la la la la la - la la la la
La la la la
TRÈS RAPIDE
Una mattina mi son svegliato
O bella, ciao! bella, ciao!
Una mattina mi son svegliato
E ho trovato l’invasor
O partigiano, portami via
O bella, ciao! bella, ciao! bella, ciao, ciao, ciao!
O partigiano, portami via
Ché mi sento di morir
La la la la - la la la la -
RÉCITATIF TRÈS LENT
E se io muoio da partigiano
Et si je meurs en tant que partisan
O bella, ciao! bella, ciao! bella, ciao, ciao, ciao!
E se io muoio da partigiano
Tu mi devi seppellir
Tu dois m’enterrer
RYTHMÉ 123 LENT, DE PLUS EN PLUS RAPIDE
E seppellire lassù in montagna
Et m’enterrer là-haut dans les montagnes
O bella, ciao! bella, ciao! bella, ciao, ciao, ciao!
E seppellire lassù in montagna
Sotto l’ombra di un bel fior
A l’ombre d’une belle fleur
La la la la - la la la la -
TRÈS RAPIDE
Tutte le genti che passeranno
Toutes les personnes qui passeront
O bella, ciao! bella, ciao! bella, ciao, ciao, ciao!
Tutte le genti che passeranno
E poi diranno «Che bel fior!»
Et puis ils diront "Quelle belle fleur!"
E questo è il fiore del partigiano
Et c’est la fleur du partisan
O bella, ciao! bella, ciao! bella, ciao, ciao, ciao!
E questo è il fiore del partigiano
Morto per la libertà!
Mort pour la liberté!
E questo è il fiore
del partigiano
Morto per la libertà
Hegoak
Hou hou hou hou hou hou hou hou hou (bis)
Hegoak ebaki banizkio
Néria i—zango zen
Ez zuen al—d(e) egingo
Bainan horrela
Ez zen gehiago txoria izango
Bainan horrela
Ez zen gehiago txoria izango
Eta nik
xoria nu—en maite
Eta nik eta nik
xoria nu—en maite
La la - la la la la la la -La la - la la la - la la la
Hou hou - Hou hou
Bainan horrela
Ez zen gehiago txoria izango
Bainan horrela
Ez zen gehiago txoria izango
Eta nik
xoria nu—en maite
Eta nik eta nik
xoria nu—en maite
La la - la la la la la la - la la
Hou hou -- Hou hou
Hou hou hou hou hou hou hou hou h (bis)
Hegoak avec traduction
Hou hou hou hou hou hou hou hou hou (bis)
Hegoak ebaki banizkio
Si je lui avais coupé les ailes
Néria i—zango zen
Il aurait été à moi
Ez zuen al—d(e) egingo
Il ne serait pas parti
Bainan horrela
Mais alors
Ez zen gehiago txoria izango
Il n’aurait plus été un oiseau
Bainan horrela
Ez zen gehiago txoria izango
Eta nik
Et moi
xoria nu—en maite
C’est l’oiseau que j’aimais
Eta nik eta nik
xoria nu—en maite
La la - la la la la la la -La la - la la la - la la la
Hou hou - Hou hou
Bainan horrela
Ez zen gehiago txoria izango
Bainan horrela
Ez zen gehiago txoria izango
Eta nik
xoria nu—en maite
Eta nik eta nik
xoria nu—en maite
La la - la la la la la la - la la
Hou hou -- Hou hou
Hou hou hou hou hou hou hou hou h (bis)
La Sobirana
Départ Pianissimo, peut -être répété plusieurs fois en augmentant la puissance.
Hou hou hou hou hou hou
Despuish l’aup Italiana,
A truvèrs vilas, e monts, e lanas
E dinc a la mar grana
Que senhoreja ua sobirana
Entant de milas annadas
Qu’audin son arríder de mainada
Sas cantas encantadas
Sons mots d’amor de hemna tant aimada
Jo que l’escotarèi
Com s’escota a parlar ua hada
Jo que la servirèi
Dinc a la mea darrèra alenada
Un dia un beròi dia
Tots conesheràn ma sobirana
Ma mair, ma sòr, ma hilha
Ma bèra amor, qu’ei la lenga occitana
Plusieurs fois en suivant le volume indiqué
Hou hou hou hou hou hou
reprise du 1 et du 4
La Sobirana avec traduction
Hou hou hou hou hou hou
Despuish l’aup Italiana,
Des Alpes italiennes
A truvèrs vilas, e monts, e lanas
À travers les villes, les collines et les plaines
E dinc a la mar grana
Et jusqu’à la vaste mer
Que senhoreja ua sobirana
Y règne une souveraine
Entant de milas annadas
Depuis un millier d’années
Qu’audin son arríder de mainada
On a entendu son rire d’enfant
Sas cantas encantadas
Ses chansons fascinantes
Sons mots d’amor de hemna tant aimada
Ses mots d’amour d’une femme bien-aimée
Jo que l’escotarèi
Moi, qui l’écouterai
Com s’escota a parlar ua hada
Comme on entend parler une fée
Jo que la servirèi
Moi, qui la servirai
Dinc a la mea darrèra alenada
Jusqu’à mon dernier souffle
Un dia un beròi dia
Un jour un beau jour
Tots conesheràn ma sobirana
Tout le monde connaîtra ma souveraine
Ma mair, ma sòr, ma hilha
Ma mère, ma sœur, ma fille
Ma bèra amor, qu’ei la lenga occitana
Ma belle bien-aimée, qu’est la langue occitane
Plusieurs dois en suivant le volume indiqué
Hou hou hou hou hou hou
Hou hou hou hou hou hou hou hou hou
Hou hou hou hou hou hou
Hou hou hou hou hou hou hou hou hou hou
Reprise du 1 et du 2
Despuish l’aup Italiana,
A truvèrs vilas, e monts, e lanas
E dinc a la mar grana
Que senhoreja ua sobirana
Un dia un beròi dia
Tots conesheràn ma sobirana
Ma mair, ma sòr, ma hilha
Ma bèra amor, qu’ei la lenga occitana
Philippe Carcassès
Un sétois !
Ô Montpellier
Dans le bas Languedoc,
les cailloux poussaient bien
Et les gens savaient faire que du vin.
Dans les étangs, y avait plein de moustiques
Et la malaïgue, pas très hygiénique.
Heureusement, qu’autour du Merdançon
A bien grandi un fameux champignon
Oh oui, chantons ce lieu qui nous inonde
De ses bienfaits, à cent lieues à la ronde
Ô Montpellier, la surdouée !
Tu t’appelles aussi lo Clapàs.
Mais ça fait trop paisanàs.
Ô Montpellier, la surdouée !
La ville des gens ... intelligents.
On y parle pointu, c’est pas des abrutis
A Antigone et sur la Comédie.
Dans cette ville heureuse, camarade,
Y a plus de médecins que de malades.
Ô Montpellier, grand flambeau du progrès
Y a le Corum, le foot et le tramway,
Un multiplex, le Zénith, oui ma belle,
Y manque plus qu’une autre tour Eiffele !
Ô Montpellier, la surdouée...
Ton maire est dévoré d’une grande ambition
Y a qu’à voir la taxe d’habitation !
Dans pas longtemps, tu atteindras les plages
En rousiguant tous les petits villages.
Les Hauts-cantons, ce sera un désert.
Mais aquò rai ! Car le fric, c’est la mer.
Oui, grâce à toi, de partout, même à Sète,
On sera bien plus snob qu’à la Croisette.
Ô Montpellier, la surdouée...
Il y avait une gare au cœur de la cité,
Toute rénovée, un parking à coté
Mais un beau jour soudain sans crier gare
Dans le désert surgit une autre gare
Et nos édiles en maîtrisant les coûts
Nous feront bien encor’ deux fois le coup
Pour que les gens soient fiers et se pavanent
D’avoir leurs six gar’s comme à la Havane.
Ô Montpellier, la surdouée...
Depuis 50 années nos stades prennent l’eau
Le foot devient parfois waterpolo
Un nouveau lieu est alors nécessaire
Pour les combats de nos fiers légionnaires
Ou implanter l’Olympe de ces dieux
Un seul endroit me parait judicieux
C’est Figuerolles et sans le moindre doute
Il s’y pratique déjà tellement de shoot(e)s.
Ô Montpellier, la surdouée...
Je languis chaque soir d’écouter FR3
Car, bien souvent, on parle que de toi;
Et quelle classe, tous ces journalistes,
Parlant comme Drucker; Ah, c’est pas triste !
Ô Montpellier, le styl’ de ma chanson
C’est dépassé, comme la madelon.
Pardonne un peu à ma muse rustique
De pas avoir le swing des Amériques
Ô Montpellier, la surdouée...
Pierre Perret
La télé en panne
C'était un soir, messieurs mesdames,
où la télé était en panne.
Ah, je m'en souviendrai longtemps,
ce fut un sacré bon moment.
On allait dîner tranquillement,
sans dévorer le petit écran
Sans se barder la chemise de nouilles
En regardant causer ces andouilles.
C'était un soir, messieurs mesdames,
où la télé était en panne.
On allait louper, à coup sûr,
les attentats, tous les coups durs.
Tout ce qui dégringole à la ronde
sur la calebasse du pauvre monde
Et tout le cortège désabusé
des mêmes qui sont toujours lésés.
C'était un soir, messieurs mesdames,
où la télé était en panne.
Su'l'coup, mes parents, pris de court,
voulaient appeler police secours.
Ils se sont rués sur le palier
et le moral sal'ment cisaillé
Prenant leur courage à deux mains,
ils ont parlé à leurs voisins.
C'était un soir, messieurs mesdames,
où la télé était en panne.
Dans les étages de haut en bas,
c'était partout le même tabac.
C'était la panique dans la strasse,
ils trouvaient ça tous dégueulasse
Qu'un gouvernement libéral
puisse tolérer un tel scandale.
C'était un soir, messieurs mesdames,
où la télé était en panne.
On les a tous emmenés chez nous,
moi, j'ai décroché mon biniou.
Papa prit son accordéon,
le voisin du dessus son violon.
On a fait un bœuf du tonnerre,
un truc qui vous fout le cul par terre.
Boeuf : Pa lam pa lam pa lam pam pam
chacun son instrument : contrebasse, saxo, accordéon, violon, trompette... on frappent dans les mains en invitant le public à faire de même.
Pour finir la nuit, messieurs dames,
Cupidon se mêlant aux programmes
Incroyablement pour maman,
Ce fut un sacré bon moment.
Et quand mon vieux lui a dit je t'aime,
ce fut comme un second baptême
Elle avait les calots brillants,
un coup de grisou dans le palpitant.
C'était un soir, messieurs mesdames,
où la télé était en panne.
Pourtant, grâce à ce jour funeste,
on a monté un chouette orchestre.
Nous vendîmes nos télés aux puces,
on vit maintenant de nos chorus
Et ça nous fait bien rigoler,
demain, on passe à la télé.
Pa lam pa lam pa lam pam pam
chacun son instrument : contrebasse, saxo, accordéon, violon, trompette... on frappent dans les mains en invitant le public à faire de même.
D
A7
D
D9
G
F#m
E7
A7
Ray Ventura
Qu'est-ce qu'on attend
pour être heureux
1- Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux
2- Qu'est-ce qu'on attend pour faire la fête
1- La route est prête
2- le ciel est bleu
1- Y a des chansons dans le piano
2- à queue
1- Il y a de l'espoir dans tous les yeux
2- Et des sourires dans chaque fossette
1- La joie nous guette
2- c'est merveilleux
T : Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux
2- Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux
1- Qu'est-ce qu'on attend pour faire la fête
2- Y a des noisettes
1- dans le chemin creux
2- Y a des raisins
1- des rouges
2- des blancs,
1- des bleus
2- Les papillons s'en vont par deux
1- Et le mille-pattes met ses chaussettes
2- Les alouettes se font des aveux
1- Qu'est-ce qu'on attend
2- Qu'est-ce qu'on attend
T : Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux
1- Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux
2 -Qu'est-ce qu'on attend pour faire la fête?
1- L'écho répète
2- cet air joyeux
1- Et la radio chante un petit air
2- radieux
1- Les parapluies restent chez eux
2- Les cannes s'en vont au bal musette
1- Levez la tête les amoureux
2- Qu'est-ce qu'on attend
1- Qu'est-ce qu'on attend
2- Qu'est-ce qu'on attend
1- Qu'est-ce qu'on attend
T : Qu'est-ce qu'on attend
pour être heureux
Renaud
Dès que le vent soufflera
Solo C’est pas l’homme qui prend la mer
Bab C’est la mer qui prend l’homme
Trib Ta-ta-tam
Solo Moi la mer elle m’a pris
J’me souviens un mardi
Tous
J’ai troqué mes santiags
Et mon cuir un peu zone
Contre une paire de dock side
Et un vieux ciré jaune
J’ai déserté les crasses
Qui m’disaient, soit prudent
La mer c’est dégueulasse
Les poissons baisent dedans
Dès que le vent soufflera,
je repartira
Dès que les vent tourneront,
nous nous en allerons
La la la la la la la - la la la la la
Solo C’est pas l’homme qui prend la mer
Bab C’est la mer qui prend l’homme
Trib Ta-ta-tam
Solo Moi la mer elle m’a pris
Au dépourvu, tant pis…
Tous
J’ai eu si mal au cœur
Sur la mer en furie
Qu’j’ai vomis mon quatre heure
Et mon minuit aussi
J’me suis cogné partout
J’ai dormi dans des draps mouillés
Ça m’a coûté des sous
C’est de la plaisance, c’est le pied
Dès que le vent soufflera...
La la la la la la la - la la la la la
Ho ho ho ho ho Hissez-haut
Solo C’est pas l’homme qui prend la mer
Bab C’est la mer qui prend l’homme
Trib Ta-ta-tam
Solo Mais elle prend pas la femme
Qui préfère la campagne
Tous
La mienne m’attend au port
Au bout de la jetée
L’horizon est bien mort
Dans ses yeux délavés
Assise sur une bitte
D’amarrage, elle pleure
Son homme qui la quitte
La mer c’est son malheur
Dès que le vent soufflera...
La la la la la la la - la la la la la
Solo C’est pas l’homme qui prend la mer
Bab C’est la mer qui prend l’homme
Trib Ta-ta-tam
Solo Moi la mer elle m’a pris
Comme on prend un taxi
Tous
Je f’rai le tour du monde
Pour voir à chaque étape
Si tous les gars du monde
Veulent bien m’lâcher la grappe
J’irai aux quatre vents
Foutre un peu le boxon
Jamais les océans
N’oublieront mon prénom
Dès que le vent soufflera...
La la la la la la la - la la la la la
Ho ho ho ho ho Hissez-haut
Solo C’est pas l’homme qui prend la mer
Bab C’est la mer qui prend l’homme
Trib Ta-ta-tam
Solo Moi la mer elle m’a pris
Et mon bateau aussi…
Tous
Il est fier mon navire
Il est beau mon bateau
C’est un fameux trois mats
Fin comme un oiseau
Hisse-haut Santiano
Si Dieu veut toujours droit de-e-vant
Nous irons jusqu'à San Francisco
Mais Tabarly, Pajot
Kersauzon, Riguidel
Naviguent pas sur des cageots
Ni sur des poubelles
Dès que le vent soufflera...
La la la la la la la - la la la la la
Solo C’est pas l’homme qui prend la mer
Bab C’est la mer qui prend l’homme
Trib Ta-ta-tam
Solo Moi la mer elle m’a pris
Je m’souviens un vendredi
Tous
Ne pleures plus ma mère
Ton fils est matelot
Ne pleures plus mon père
Je vais au fil de l’eau
Regardez votre enfant
Il est parti marin
Je sais c’est pas marrant
Mais c’était son destin
Dès que le vent soufflera,
nous nous en allerons... de requin
La ballade nord-irlandaise
La la la la - la la la la - la la la la - la la la la la ...
J’ai voulu planter un oranger
Là où la chanson n’en verra jamais
Là où les arbres n’ont jamais donné
Que des grenades dégoupillées
Jusqu’à Derry ma bien aimée
Sur mon bateau j’ai navigué
J’ai dit aux hommes qui se battaient
Je viens planter un oranger
Buvons un verre, allons pêcher
Pas une guerre ne pourra durer
Lorsque la bière et l’amitié
Et la musique nous ferons chanter
La la la la - la la la la - la la la la - la la la la la ...
Je voulais planter un oranger
Là où la chanson n’en verra jamais
Il a fleuri et il a donné
Les fruits sucrés de la liberté
La la la la - la la la la - la la la la - la la la la la ...
Tino Rossi
Méditerranée
la la la la - la la la la sur l'air du couplet
Sous le climat qui fait chanter tout le Midi,
Sous le soleil qui fait mûrir les ritournelles,
Dans tous les coins on se croirait au Paradis
Près d’une mer toujours plus bleue, toujours plus belle
Et pour qu’elle ait dans sa beauté plus de douceur
Mille jardins lui font comme un collier de fleurs...
Méditerranée
Aux îles d’or ensoleillées
Aux rivages sans nuages
Au ciel enchanté
Méditerranée
C’est une fée qui t’a donné
Ton décor et ta beauté
Mé-di-terranée !
Au clair de lune,
entendez-vous dans le lointain,
Comme un écho
qui, sur les vagues, s’achemine
Entendez-vous le gai refrain des tambourins
Accompagné du trémolo des mandolines ?
C’est la chanson qui vient bercer,
toutes les nuits,
Les amoureux du monde entier
qu’elle a séduits.
Tri Yann
Les prisons de Nantes
Dans les prisons de Nantes
Lan
Di-di-di-dou-dan
Di-di-lan-di- lan
di-di-di-dou-dan
Dans les prisons de Nantes
Y avait un prisonnier
Y avait un prisonnier
Personne ne le vint voiré Lan didididoudan
Personne ne le vint voiré
Que la fille du geôlier
À la fille du geôlier
Un jour il lui demande Lan didididoudan
Un jour il lui demande
Oui que dit-on de moué?
Que dit-on de moué?
On dit de vous en ville Lan didididoudan...
On dit de vous en ville
Que vous serez pendu
Et vous serez pendu
Mais s'il faut qu'on me pende Lan didididoudan.
Mais s'il faut qu'on me pende
Déliez-moi les pieds
Déliez-moi les pieds
La fille était jeunette Lan. didididoudan
La fille était jeunette
Les pieds lui a déliés
Les pieds lui a déliés
Le prisonnier alerte Lan didididoudan
Le prisonnier alerte
Dans la Loire s'est jeté
Dans la Loire s'est jeté
Dès qu'il fut sur les rives Lan didididoudan...
Dès qu'il fut sur les rives
Il se prit à chanter
Il se prit à chanter
Lentement :
Je chante pour les belles Lan didididoudan...
Je chante pour les belles
Surtout celle du geôlier
Surtout celle du geôlier
Si je reviens à Nantes Lan didididoudan...
Si je reviens à Nantes
Oui je l'épouserai
Oui je l'épouserai
Dans les prisons de Nantes Lan didididoudan...
Dans les prisons de Nantes
Y avait un prisonnier
Y avait un prisonnier
Vieilles chansons
Mon amant de Saint-Jean
Je ne sais pourquoi elle allait danser
À Saint-Jean, aux musettes
Mais quand ce gars lui a pris un baiser
Elle frissonnait était chipé
Comment ne pas perdre la tête
Serré par des bras audacieux?
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Elle qui l'aimait tant
Elle le trouvait le plus beau de Saint-Jean
Elle restait grisée
Sans volonté, sous ses baisers
Sans plus réfléchir, elle lui donnait
Le meilleur de son être
Beau parleur, chaque fois qu'il mentait
Elle le savait, mais elle l'aimait
Comment ne pas perdre la tête...
Mais hélas, à Saint-Jean, comme ailleurs
Un serment n'est qu'un leurre
Elle était folle de croire au bonheur
Et de vouloir garder son cœur
Comment ne pas perdre la tête...
On chante le refrain entièrement et on reprend
Elle qui l'aimait tant
Elle le trouvait le plus beau de Saint-Jean
Il ne l'aime plus
C'est passé
N'en parlons plus
Il ne l'aime plus
C' est du passé
N'en parlons plus